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... Vu par Sheila,
alias "Taz", membre des C.C.C. ... |
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L'histoire :
Oyez ! Oyez braves cinéphiles !
Il était une fois un monde superficiel et cruel, où le mot d'ordre était fête et liberté. Ce monde très fermé réunissait chaque soir stars et inconnus, les uns venant pour être vus, et les autres pour voir. Les premiers bien sûr avaient une vision limitée et ne voyaient qu'exceptionnellement les seconds. Ça doit être génétique.
Quoi qu'il en soit, on se battait pour y rentrer.
Un jour, un jeune homme se présentât à la porte. Sa beauté, sa jeunesse le firent remarquer par le roi de ce monde (alias Austin Powers) et monter aux sommets de popularité ; sa naïveté touchante l'y maintint (bien qu'elle suscitait de nombreuses railleries, qui lui passaient évidemment loin au dessus de la tête, car notre héros n'était pas très fut-fut, mais bon...).
Tout allait à peu près pour le mieux quand soudain un double coup du sort le ramena à la dure réalité et lui fit quitter l'endroit sur le champ. Mais il n'avait pas tout perdu puisqu'il avait entre-temps amassé un petit magot, partagé sa couche avec les plus belles damoiselles, et trouvé des amis fidèles. Et puis surtout, il était devenu plus fut-fut.
La critique :
L'histoire m'a vaguement fait penser à Macadam Cow-boy, dans le sens où le héros (Mama mia qu'il est mignon !) sort de sa banlieue sordide pour découvrir les perversités de la ville. Mais la comparaison s'arrête là. C'était pas mal mais ça ne restera pas dans les annales.
Ah oui ! ==> Une mention très spéciale pour l'interprète de l'inclassable Austin Powers (son nom véritable m'échappe, comme d'habitude), qui campe ici le rôle du propriétaire des lieux. Il est tour à tour drôle, dégoûtant, déroutant, énervant ou attendrissant. Bref, je le trouve génial.
Salma Hayek est bien aussi.