AUDITION

1999. 1h55. EPOUVANTE-HORREUR JAPONAISE EN COULEURS

DE TAKASHI MIIKE

AVEC ISHIBASHI RYO, SHIIANA EIHI, JUN KUNIMURA, TETSU SAWAKI, MATSUDA MIYUKI, ISHIBASHI RENJI...

- Interdit aux moins de 16 ans -

 

le résumé de Pariscope :

Aoyama, veuf depuis plusieurs années, vit seul avec son adolescent de fils. Directeur d’une boîte de production, il mène sa carrière professionnelle avec succès. L’envie de se remarier lui vient mais il hésite sur la marche à suivre. Un ami producteur lui suggère l’organisation d’un casting fictif qui lui permettra de rencontrer de nombreuses femmes. Au cours de l’audition, Aoyama remarque Asami, une discrète jeune fille et se sent d’emblée des affinités avec elle. Enveloppée de mystère, réservée et docile, elle a tôt fait de séduire le quadragénaire, fou amoureux... Après « Ring » auquel une allusion est faite, le cinéma japonais continue son exploration très surprenante d’un cinéma fantastique ancré dans le quotidien. Le film commence tout doux, comme une banale love story avec ses approches, ses espoirs, l’attente près du téléphone. Peu à peu, la femme, créature d’apparence douce et virginale, change subtilement; son visage, masqué par une longue chevelure noire, semble taire des horreurs... Le réalisateur dose habilement l’angoisse, distillée crescendo, au goutte à goutte; la réalité s’efface et fait place à un univers cauchemardesque jusqu’à un final gore, très efficace.

Virginie Gaucher

 

le résumé de AlloCiné :

Aoyama, 42 ans, est producteur de films. Sa femme est décédée il y a sept ans, mais il vit toujours sa disparition avec difficulté. Un jour, suivant les conseils d'un vieil ami, Yasuhisa Yoshikawa, il décide de se remarier et organise une audition pour une série télévisée fictive afin de trouver sa nouvelle compagne parmi les candidates. La dernière à se présenter, Yamazaki Asami, est une jeune femme d'une troublante beauté. Aoyama en tombe instantanément amoureux. Il la rappelle et dîne en tête à tête avec elle. Quelques jours plus tard, Aoyama lui téléphone à nouveau. Yamazaki est chez elle, prostrée dans l'obscurité. Elle est seule ou presque. Commence alors pour Aoyama une plongée vertigineuse dans un enfer sanglant, dont les retombées seront excessivement douloureuses.

 

Les Critiques du Cénacle des Cinéphiles (C.C.C.)...

Stéphane...

 

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